SEED asbl

Nachdem im Sommer 2012 Som fir Erhalen an d’Entwécklung vun der Diversitéit (SEED) in Leudelange als informelles Netzwerk ins Leben gerufen wurde, entschied das Kollektiv nun auch einen eingetragenen Verein zu gründen.

Die Gründungsversammlung wurde am  Montag, den 29. April 2013, im Musée national d’histoire naturelle in der Hauptstadt abgehalten und anschließend mit einem öffentlichen Vortragsabend zum Thema „Altes Gemüse – neu vernetzt“ gefeiert. Die Vorträge zweier Gründungsmitglieder standen auf dem Programm und wurden gefolgt von einem regen Austausch mit dem Publikum von etwa 50 Personen.

Frank Adams erklärte bildhaft, worum es bei SEED geht. Nicht nur die Erhaltung der Sortenvielfalt, sondern auch die Sensibilisierung über die gesellschaftliche Bedeutung von Saatgut und die Information rund um den praktischen Samenbau hat sich SEED zu Aufgaben gemacht. Dabei richtet sich die Gruppe bisher hauptsächlich an PrivatgärtnerInnen.

Stephanie Klaedtke erklärte anschließend, wie der Einsatz von lokal angepassten Sorten in Gemüsegärten sich konkret gestaltet. Sie stellte zwei Projekte vor, die das Thema Sortenvielfalt in Luxemburg vorantreiben sollen. Hierbei geht es zum einen um die Anpassung von Buschbohnen an lokale Umweltbedingen und zum anderen um den Versuchsanbau von Freilandtomaten.

Das Fazit hatten beide Redner gemeinsam: Ziel ist nicht, für jeden Garten DAS passende Saatgut anzubieten. Ziel ist es, „Vermehrer zu vermehren“ – also Menschen, die ihr eigenes Saatgut auslesen und vermehren möchten und so nicht nur selten gewordene Sorten, sondern auch das Handwerk des Samenbaus am Leben erhalten.

(Pressemitteilung 29.04.2013, Stephanie Klaedtke)

 

Après avoir lancé ‚Som fir Erhalen an d’Entwécklung vun der Diversitéit‘ (SEED) en tant que réseau informel à Leudelange en été 2012, le collectif à choisi de fonder une association sans but lucratif cette année.

L’assemblée constituante a eu lieu le lundi 29 avril 2013, au Musée national d’histoire naturelle dans la capitale, suivi d’une conférence intitulée « Un nouveau réseau pour les anciens légumes ». Les présentations de deux membres fondateurs étaient au programme, menant à une discussion animée avec le public d’une cinquantaine de personnes.

Frank Adams illustra les objectifs de SEED : Non seulement la conservation de la diversité variétale de nos cultures, mais aussi la sensibilisation concernant l’importance de la semence pour une société et l’information sur les pratiques et savoir-faire de la production de semence artisanale. Aujourd’hui, le réseau vise surtout les jardins amateurs.

Stephanie Klaedtke expliqua ensuite concrètement comment la culture de plantes adaptées se présente dans les potagers. Elle présenta deux projets ayant pour but de développer le sujet de la biodiversité cultivé au Luxembourg. Un premier sujet traite de l’adaptation du haricot aux conditions locales ; l’autre constitue à tester de tomates en plein champ.

La conclusion commune aux deux intervenants : Le but n’est pas de proposer la semence adapté à chaque jardin. Le but est surtout de « multiplier les multiplicateurs », c’est-à-dire des personnes qui veulent sélectionner et cultiver leur propre semence. Ainsi ce ne seront pas que des variétés devenues rares qui seront maintenues, mais aussi les savoir-faire d’artisan-semencier.

(Communiqué de presse 29.04.2013, Stephanie Klaedtke)